Tout commence par des rencontres et des confidences sur des histoires de danse…
Dominique, Elisabeth, Patrick, Cathy, Fred...Leurs récits vont prendre vie sur scène et s'incarner à travers deux nouveaux corps ...
Côte à côte, ces corps passeurs de mémoire vont faire valser des souvenirs qui ne swingue plus, faire renaître des soirées oubliées, endiabler des slows gênés et même tenter de créer une aventure collective mouvementée.
« Des histoires à danser debout » fait écho aux expériences vécues, aux instants où chacun s'est vu un jour invité à danser... A la fois simple témoin d'histoires et d'émotions personnelles, ce spectacle prend le parti de convaincre les « oubliés du dance floor » d'un jour y retourner...
teaser du spectacle
Lundi 21 novembre 14h15 - Le Carré d’arts > Elven
Tarifs (billetterie à charge de l'école) - 3 € / élève
A partir des histoires identifiées dans le spectacle, l'élève sera invité à rentrer dans différentes énergies et états corporels, à oublier le regard de l'autre et se concentrer sur ses sensations.
Jeudi 24 novembre, Vendredi 25 novembre matin ou après-midi – en classe (salle de motricité) – durée 1h30
En présence d’un danseur intervenant *
Après un temps d'échange sur ce qu'ils ont vécu, aimé et ressenti en assistant au spectacle, les élèves seront invités à être à la fois danseurs, chorégraphes et spectateurs. Nous traverserons différentes énergies d'État de corps. Après une mise en danse, les élèves seront amenés à découvrir divers exercices dans l'espace en s'appuyant sur les qualités corporelles. Ils improviseront à partir de consignes simples pour explorer, créer et composer de courtes phrases chorégraphiques.
Atelier avec Karine Victoire : selon planning du danseur intervenant GMVa – 2 heures .
* Ateliers pour 3 classes –la classe en "création augmentée" sera exclusivement suivie par Mathilde Dinard.
La Sorcière, personnage constamment réinventé hante l’imaginaire et la littérature, de la petite enfance à l’âge adulte, tour à tour objet de fascination, de répulsion, de transgression, détentrice d’un pouvoir, symbole d’une femme en lutte. Une figure en perpétuelle réécriture.
Cette création joue de ces paradoxes en traversant les frayeurs enfantines issues des personnages des contes et interrogent les symboles que ces sorcières représentent aux yeux des enfants.
Elles auront le pouvoir de se transformer, du beau vers le laid, du doux vers le terrifiant, apparaître et disparaître à leur guise, voler, flotter dans les airs… Combattives, elles déploient une danse physique, puissante et impétueuse, sous le signe de la bravoure et du culot mais aussi de la vitalité et de la révolte.
Jeudi 11 mai 10h, 14h15 - Le Dôme > Saint-Avé
Tarifs (billetterie à charge de l'école) - 3 € / élève
Lundi 22 mai, mardi 23 mai matin ou après-midi – en classe (salle de motricité) – durée 1h30
Atelier avec Karine Victoire : selon planning du danseur intervenant GMVa – 2 heures
Et si pour le dernier volet de ce parcours, vous vous laissiez porter tout simplement ...
Pas de propositions "clé en mains" mais une découverte sur mesure (rencontres, sortie en famille sur une séance tout public, visite avec un régisseur, découverte d'un spectacle en cours de création, rencontres avec artistes en résidence...). Nous nous adapterons aux souhaits des enseignants. Les artistes vous attendent !
Soazig, gardienne de phare à la retraite, fait partager les anecdotes, joies et difficultés qui ont jalonné sa vie au phare. Ce spectacle est un hommage à ces femmes, veilleuses, mères de famille, parfois veuves, qui ont accompli leur tâche quotidienne et entretenu ces sentinelles dans une vie à la verticale. Ici, elles nous parlent d’attachement, d’amour et de courage. À travers elles, nous parlerons aussi de la mer, de ses dangers, de ses héros, de l’amour de ce territoire pour ces phares et de leur devenir. Cette pièce est passeuse d’histoires, mais, au-delà de la vie de ces gardiennes et de leur famille, c’est aussi de la place des femmes dont il est question, de leur reconnaissance dans un milieu souvent réservé aux hommes.
Lundi 15 mai - La chapelle du Croisty Arzon
Tarifs (billetterie à charge de l'école) - 3 € / élève
En présence des artistes de la Cie Sumak
Une grande partie de la musique du spectacle est créée en direct, à l'aide d'un boucleur, d'un pédalier et d'un micro. Samir Dib, musicien du spectacle, montrera aux élèves, comment fonctionnent ses ''outils''. Ils créeront eux même, guidés par Samir, un univers sonore, en direct, autour du thème de la mer, qui prendra vie grâce au matériel électronique. En parallèle, Céline Sorin, comédienne et metteuse en scène, guidera les élèves à travers cet univers sonore afin de créer des tableaux vivants, directement inspirés et rythmé par la musique et leur imaginaire.
Mardi 16 mai matin ou après-midi. En classe (salle de motricité) Durée : 1h30
En présence d’un musicien intervenant
Musique, coquillages et crustacés... Les élèves seront invités à inventer leur univers maritime à travers l'exploration des sons venus des océans (eau, coquillages, sable...) et la découverte de chants du répertoire.
Atelier avec musicien intervenant : selon planning du musicien intervenant GMVa (demi-journée)
Et si pour le dernier volet de ce parcours, vous vous laissiez porter tout simplement ... Pas de propositions "clé en mains" mais une découverte sur mesure (rencontres, sortie en famille sur une séance tout public, visite avec un régisseur, découverte d'un spectacle en cours de création, rencontres avec artistes en résidence...). Nous nous adapterons aux souhaits des enseignants. Les artistes vous attendent !
Cake et Madeleine c'est l'histoire d'une famille où les hommes ont disparu. Ça raconte comment les hommes ont disparus. Ça aimerait dire pourquoi mais... bon. Cake et Madeleine aimerait être une histoire drôle. Ça tente d'être drôle mais ça a des accents mélancoliques. Cake et Madeleine, ce sont les gâteaux préférés de papa et de grand-papa. Ça parle de ça. Ça parle aussi de la guerre, des dimanches, de cartes postales, de la vie en montagne et d'errances maritimes, de sirènes, de descendances, de traverser tous les pays du monde sans réussir à partir d'ici.
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En présence de Aurélien Georgeault Loch, artiste de la Cie Bakélite.
A partir d'un magasin d'objets constitué en partie par les élèves, nous ferons différents jeux et exercices pour définir une langue commune autour de l'objet : travellings, métaphores et autres jeux d'échelles. Comment des objets, rares ou ordinaires, ont cette capacité de nous emporter vers l’imaginaire, jouer avec le vrai, le faux, les contes, les faits divers, des histoires qu'on connait tous.tes. On invente des familles entières (et histoires de familles !) avec des objets en série comme des mouchoirs, des playmobils, des chips, des gâteaux...
Mardi 18 octobre matin ou après-midi – en classe (salle de motricité) 1h30
« Marguerite Duras disait « il faut beaucoup aimer les hommes ». Je crois qu’il faut dire aux enfants et à tous, qu’il faut beaucoup aimer la vie. Il faut même le crier. Ce spectacle redonne ses lettres de noblesse à la Gourmandise. Continuer de goûter les autres et les choses, avec envie, avec toute la curiosité́ possible. Piments, sel et poivre dans un décor tout en couleur et en générosité́, créé́ par l’artiste Louise Duneton à l’univers esthétique si débordant. La scénographie sera conçue comme une installation dans laquelle le public prendra place. La musique romantique française débordante du XIXè enrobera ce spectacle telle une chantilly. »
Vendredi 27 janvier 10h ou 14h15 - Le Dôme - Saint-Avé
Tarifs (billetterie à charge de l'école) - 3 € / élève
En présence de Louise Duneton, scénographe du spectacle
Goûter les images. En reprenant les thèmes majeurs du spectacle, les enfants travailleront autour de la nourriture produite sur leur territoire, le goût, la représentation des aliments et de l’intérieur du corps (estomac, intestins). Une réflexion sera également portée autour du paysage dans lequel ils s’inscrivent et de la musique comme source d’images gourmandes.
Vendredi 27 janvier matin ou après-midi – en classe – durée 1h30
En présence d’un musicien intervenant
Entrons dans l'estomac d'un ogre et découvrons quelle surprises il contient : Quel gourmand !! Ces ingrédients originaux nous permettront de composer une chanson inédite, dont la mélodie et les paroles seront concoctées par les élèves. En touche finale, les petits cuistots l'accompagneront ensuite en batterie de cuisine !
Atelier avec Morgane le Bars : selon planning du musicien intervenant GMVa (demi-journée)
Ce parcours propose de découvrir le théâtre par le biais de la lecture à travers deux oeuvres écrites par Karin Serres, auteur de théâtre pour la jeunesse.
Du livre au spectacle, du texte au jeu plateau, les élèves pourront à la fois apprécier le travail de deux compagnies artistiques d'univers différents et aussi remarquer l'importance du jeu théâtral et de la mise en scène. Parmi les spectacles proposés, certains se déroulent en salle de motricité, les élèves auront ainsi la chance d'accueillir les artistes à l'école !
Parcours destiné à 2 écoles - 4 classes (2 classes de la même école).
Karin Serres est autrice, metteuse en scène, décoratrice et traductrice de théâtre. Karin Serres s’adresse sincèrement aux enfants et aux adolescents : plus de la moitié des pièces de théâtre, pièces radiophoniques, albums et romans qu’elle a écrits depuis 20 ans leur est dédiée. Prix du 17ème roman européen jeunesse avec “Mongol”, prix CanaJ pour “Lou la brebis”, ses derniers livres sont publiés au Rouergue. Nourrie par le dépaysement, elle travaille souvent en résidence, en France ou à l’étranger. Elle a écrit plus de 80 pièces souvent éditées, jouées et traduites, des fictions radiophoniques, des romans, des albums… Elle a mis en scène plusieurs de ses pièces et saisit toutes les occasions d’élargir son horizon artistique en croisant son théâtre avec l’objet, la marionnette, le clown, l’animation, l’opéra...etc.
Pas question ici de tirage de tresses ou de crêpage de chignon : on parle bien de Bagarre, avec un grand B. Celle qui se pratique dans les règles de l’art, et dans les règles du jeu. BIM ! BAM ! La bagarre dans tout ce qu’elle a de joyeux. Pas la guerre, pas de colère, pas faire mal. Juste se mesurer aux autres et surtout à soi-même, histoire de cacher sa peur et de prendre sa place dans la cour de récré.
Annabelle Sergent et Karin Serres se sont glissées dans les cours d’écoles pour écrire ce spectacle. Elles ont confié leur partition à la jeune et talentueuse Tamaïti Torlasco. En douze rounds, la comédienne virtuose incarne chaque personnage et trace cette histoire haletante. Nul doute qu’à l’issue du spectacle, petits et grands repartiront requinqués, prêts à se bagarrer pour leurs propres rêves.
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Jeudi 24 novembre 10h, 14h15 - Le Dôme – Saint-Avé
Tarifs (billetterie à charge de l'école) - 3 € / élève
En écho au spectacle Bagarre, Karin Serres déplie l’histoire du frère de Mouche, la championne de bagarre. Titus aime compter les oiseaux, envoyer promener sa sœur et jouer à la bagarre avec Tinko, son meilleur copain. Mais un jour, Titus tape trop fort... Entre culpabilité et imagination débordante, son quotidien se retrouve chamboulé.
La Compagnie LOBA souhaite avec Titus, créer une rencontre partagée entre un artiste et un public, un mix entre action culturelle et geste artistique. Cette petite forme peut être proposée à tous les futurs spectateurs de Bagarre.
Lundi 14 novembre matin ou après-midi – en classe salle de motricité – durée 2h
Batlle musical ! A partir de la création de bagarre de personnages de bandes-dessinées, les élèves inviteront sur le ring ces figurines connues de tous, un match de boxe en voix, mouvement et bruitages vocaux et instrumentaux. Les élèves imagineront et mettront en scène une battle unique !
Atelier avec Morgane Le Bars : selon planning du musicien intervenant GMVa (demi-journée).
Georgia ? C'est une exilée du réel qui flotte entre deux mondes, une cabossée de l'existence qui rebondit hors de l'eau pour savourer la vie à pleins poumons et chanter au monde la jubilation d'être ensemble. Georgia, c'est une sirène !! Mais chut... Ne le dites à personnes, c'est elle qui vous le racontera !
Lundi 3 ou mardi 4 avril En classe (salle de motricité)
Dans le village de Brognon, tout est calme. Sauf Daniel, qui est un peu agité du bocal… il a reçu un médicament expérimental, venu des US, cela ne peut que lui faire du bien. Tout va bien… mais où donc est passé le chien du vieux Jean-Marie ?
Une lampe à abat-jour, une table et un tiroir, il n’en faut pas davantage pour inviter le cinéma de série B sur la scène du théâtre. En une succession de vignettes qui s’enchaînent à un rythme effréné, la réalité se délite peu à peu et les massacres se succèdent… pour la plus grande joie des spectateurs, puisque le traitement est résolument burlesque.
Gildwen Peronno signe un spectacle librement inspiré d’une chanson de Daniel Johnston. Le théâtre d’objet est ici le ressort d’effets comiques tous azimuts : déformations, substitutions, échelles télescopées, la farandole des objets du quotidien sert un conte désopilant, mais aussi inquiétant.
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Embarquer dans le récit d’une traversée de l’Amérique du Nord, au temps des coureurs des bois et de la conquête de l’Ouest. Découvrir l’histoire du métissage de plusieurs peuples et de plusieurs langues. Être témoin de la lutte d’une héroïne, Marie Iowa, au moment du déclin des peuples autochtones et de la colonisation de leur territoire.
Celle qui marche loin est un récit épique qui chemine du Missouri à l’Oregon, mais c’est aussi la célébration d’une mémoire alternative : celle de femmes courageuses et d’aventuriers métissés, oubliés par l’Histoire.
Ce spectacle est le fruit d’une rencontre artistique, celle de Maude Gareau et de Gildwen Peronno. Une québécoise et un breton, deux points de vue sur le monde mais une même manière de faire un théâtre visuel et engagé. Cette alliance de sensibilités donne une dramaturgie cinématographique, combinant la force évocatrice de l’objet et un jeu de comédien impliqué. C’est un récit émouvant, un moment d’aventure qui laisse saisi d’admiration pour ces éclaireurs déterminés au destin souvent tragique.
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Lundi 27 mars 10h, 14h30 – Carré d'arts - Elven
Tarifs (billetterie à charge de l'école) - 3 € / élève
En présence d’un musicien intervenant
Première expédition en musique vers le Québec et les premières Nations à travers la découverte de chants, danses, ou encore manipulation de cuillères rythmiques.
Atelier avec Emmanuelle Lemercier : selon planning du musicien intervenant GMVa (demi-journée).
A partir de ces axes, nous proposons aux enfants de créer des solos, duos, trios ou chœurs, préparés ou improvisés avec des marionnettes très simples. Les improvisations s'appuieront sur l'expression corporelle des émotions. L'axe artistique de la compagnie étant le théâtre visuel et gestuel, nous travaillerons sans texte. La marionnette est le lieu de tous les possibles... Nous irons en rencontrer quelques-uns !
Attention ! Cet atelier mettra en jeu les corps pour qu'ils soient au service de la marionnette, venez avec une tenue confortable
Jeudi 26 ou vendredi 27 janvier matin ou après-midi en classe. Durée : 1h30
Papang - Cie Rouge bombyx / Marionnettes
Une petite fille prend l’avion pour aller à la Réunion. Elle retrouve là-bas sa grand-mère paternelle qu’elle ne connaît pas. Elle s’interroge. Sa grand-mère a la peau très foncée… elle, elle est blanche. Elles ont la même façon de marcher. Comment peut-on être si différentes et se ressembler autant ? Comment peut-on être de véritables inconnues et se sentir proches en même temps ? Elle veut comprendre.
Qui est cette famille ? Quelle est l’histoire du sang qui coule dans ses veines ? Son voyage amènera la fillette à se rapprocher d’une partie de sa famille, de ses aïeux.
En quête de ses origines, de la moitié d’elle-même qui lui est étrangère, elle réussira à remplir la « partie flottante » en elle. A cette généalogie se mêle l’histoire de l’île : l’esclavage, le métissage, la forêt primaire et « ses créatures ». En allant à la recherche de ses racines, petit à petit des liens se tissent, une histoire se reconstruit et se renforce.
Mardi 7 février 10h, 14h15 - Le Dôme - Saint-Avé
Tarifs (billetterie à charge de l'école) - 3 € / élève
En présence de Christophe Hanon, artiste de la Cie Rouge Bombyx
Comment donner vie à des tissus, du papier et ensuite à une marionnette plus « complexe » ... Quelle grammaire, quel vocabulaire doit-on connaître pour parler le langage des marionnettistes ? Connaître les trucs pour faire vivre un personnage ... même un simple morceau de mousse.
Nous explorerons aussi l'animation d'une marionnette par deux ou trois, avec l'observation et la reproduction de mouvements réalistes ou l'invention de mouvements plus extraordinaires (vol, ralenti). C'est apprendre à travailler à plusieurs au service d'un personnage : entente, coordination, échanges : des notions essentielles pour donner vie à la marionnette. "
Lundi 27 ou mardi 28 février matin ou après-midi en classe. Durée : 1h30
En présence d’un musicien intervenant
Découverte de la culture musicale réunionnaise. Mise en musique de comptines réunionnaises et/ou travail sur le rythme, découverte du kayamb, instrument traditionnel de La Réunion.
Atelier avec Marion Bellec : selon planning du musicien intervenant GMVa (demi-journée).
Crin blanc… Un film qui a marqué notre enfance à tous. Qui n’a pas de souvenir enfoui de ce cheval banc, fougueux, galopant dans les marais de Camargue sous les yeux émerveillés de Folco, le jeune pêcheur ? Résolument actuel, Crin blanc (réalisé en 1953 par Albert Lamorisse) illustre parfaitement la relation de l’homme à la nature. Dans un monde en pleine mutation, cette œuvre démontre combien il est essentiel de s’employer à conserver les espèces sauvages tant elles sont menacées, combien il est urgent de maintenir nos écosystèmes en équilibre. Délibérément engagé, le projet de ce ciné-concert, comme un cri, a l’ambition d’éveiller les consciences des publics, et surtout des plus jeunes.
Afin d’appuyer et illustrer le propos dramaturgique du film, Camille Saglio au chant, guitare, sampler et Matthieu Dufrene à l’accordéon et aux percussions jouent en live des compositions originales, crées spécifiquement pour ce projet.
Ponctué de mapping le spectacle a vocation à immerger les spectateurs dans les marais camarguais.
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En présence des artistes de la Cie Anaya
Atelier de découverte du travail de mise en musique d'une séquence d'un film. Après des exercices de sensibilisation à la notion de pulsation rythmique (jeux en groupe), nous inviterons les participants à créer de la musique pour une séquence du film Crin blanc. Accompagnés des deux artistes de la Cie Anaya, les enfants pratiqueront le chant et les percussions corporelles. Cette création ponctuelle et éphémère se fera grâce à l'utilisation du sampler.
Mardi 7 février matin ou après-midi – en classe – durée 1h30
Une passe, c’est un geste de tonte. Le tondeur passe sa machine dans la laine, le long du corps de l’animal. Il passe d’une brebis à l’autre, en reproduisant une série de gestes. D’un tondeur à l’autre, il passe son savoir-faire. D’une ferme à l’autre, d’un an sur l’autre, il passe, témoin de la vie pastorale.
Comme les tondeurs passent de ferme en ferme, deux acteurs sont passés chez les tondeurs recueillir des témoignages. Au fil de ces portraits, le théâtre et la danse déploient un matériau documentaire vers la rêverie, à partir des gestes techniques de la tonte, d’échappées de moutons, et de tentatives de dire, à travers un métier, une place dans le monde.
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Mardi 9 mai 14h30 - Grain de sel - Séné
Tarifs (billetterie à charge de l'école) - 3 € / élève
Crin blanc… Un film qui a marqué notre enfance à tous. Qui n’a pas de souvenir enfoui de ce cheval banc, fougueux, galopant dans les marais de Camargue sous les yeux émerveillés de Folco, le jeune pêcheur ? Résolument actuel, Crin blanc (réalisé en 1953 par Albert Lamorisse) illustre parfaitement la relation de l’homme à la nature. Dans un monde en pleine mutation, cette œuvre démontre combien il est essentiel de s’employer à conserver les espèces sauvages tant elles sont menacées, combien il est urgent de maintenir nos écosystèmes en équilibre. Délibérément engagé, le projet de ce ciné-concert, comme un cri, a l’ambition d’éveiller les consciences des publics, et surtout des plus jeunes.
Afin d’appuyer et illustrer le propos dramaturgique du film, Camille Saglio au chant, guitare, sampler et Matthieu Dufrene à l’accordéon et aux percussions jouent en live des compositions originales, crées spécifiquement pour ce projet.
Ponctué de mapping le spectacle a vocation à immerger les spectateurs dans les marais camarguais.
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Les Graines oubliées est un spectacle musical d’ombres géantes écrit et composé par Ladylike Lilly.
Il raconte l’aventure d’une petite fille qui quitte sa ville natale pour sauver sa maman malade. En fouillant dans les vieux livres d’histoire et de botanique pour chercher un remède, elle se rend compte que des pages ont été arrachées. Une nuit, un crapaud qui parle vient lui révéler un secret. Il existe, quelque part, loin de la ville, une sorcière qui sait soigner grâce aux pouvoirs des plantes. Peut-être même qu’elle peut guérir la maman de Lily. La petite fille se met alors en route, et découvre tout un monde qu’on lui a caché jusqu’ici. Un univers sauvage, végétale et merveilleux qui a été volontairement dissimulé à l’enfant.
Depuis son laboratoire sonore et visuel, Ladylike Lily nous invite au voyage au gré des tableaux d’encres mélangées et d’ombres géantes en direct. A la fois conteuse et marionnettiste, la musicienne nous chante un contre très actuel et magnifiquement onirique.
Date à venir - Echonova - Saint-Avé
Tarifs (billetterie à charge de l'école) - 3 € / élève
Ce parcours parle des différences invisibles, celles que l'on ne devine pas...mais qui isolent et se romptent aux difficultés de communication et d'interactions sociales. Avec ces deux créations d'univers différents, les élèves seront sensibilisés par un personnage dingue et loufoque ou au contraire sensible et attendrissant, à l’acceptation de la différence qui contribue à construire une société plus respectueuse des forces et des faiblesses de chacun.
Dans le village de Brognon, tout est calme. Sauf Daniel, qui est un peu agité du bocal… il a reçu un médicament expérimental, venu des US, cela ne peut que lui faire du bien. Tout va bien… mais où donc est passé le chien du vieux Jean-Marie ?
Une lampe à abat-jour, une table et un tiroir, il n’en faut pas davantage pour inviter le cinéma de série B sur la scène du théâtre. En une succession de vignettes qui s’enchaînent à un rythme effréné, la réalité se délite peu à peu et les massacres se succèdent… pour la plus grande joie des spectateurs, puisque le traitement est résolument burlesque.
Gildwen Peronno signe un spectacle librement inspiré d’une chanson de Daniel Johnston. Le théâtre d’objet est ici le ressort d’effets comiques tous azimuts : déformations, substitutions, échelles télescopées, la farandole des objets du quotidien sert un conte désopilant, mais aussi inquiétant.
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Vendredi 18 novembre 9h15, 10h30 ou 14h15 - Grain de sel - Séné
Tarifs (billetterie à charge de l'école) - 3 € / élève
En présence de Gildwen Peronno, artiste de la Cie Roi Zizo
Et si vous veniez vous frotter à l'incroyable poésie du théâtre d'objet ? En partant d'un tas d'objets hétéroclite et obsolètes, nous allons essayer de découvrir ce qui se cache derrière chacun d'eux, au delà de leur fonction utilitaire : quel souvenir commun, quel personnage, quelle émotion, quel trait de caractère, quel paysage ... A partir de là, nous ferons quelques « exercices de style » avec la manipulation, l'écriture, le jeu et nous trouverons les clefs pour que ces objets deviennent de vrais partenaires de jeu.
Pour l'atelier, chacun va choisir un objet, sans valeur et le ramener en classe. Pour s'amuser, on va dire que l'on ne choisi pas de jouet. Soyez à l'écoute et ouvrez l'oeil, il y a des objets qui ont vraiment envie de faire du théâtre.... par exemple un objet qui vous fait penser à l’enfance, un objet qui vous évoque l’exil, un objet que vous aimez, un objet que vous détestez, un objet du passé, du présent, en plastique, en fer blanc, kitch, des objets qui vous inspirent et qui sont déjà porteurs d’histoires. Avant de venir sur un papier en quelques mots écrivez pourquoi vous avez choisi cet objet. Vous pouvez le décrire et commencer à noter ce qu'il évoque, à quoi il vous fait penser, qu'est ce qu'il pourrait faire au théâtre.
En arrivant à l'atelier chacun posera son objet, sur la table.
Après l'atelier et après le spectacle vous aller reprendre votre objet et écrire à nouveau ce qu'il vous évoque et ce que à quoi vous n'aviez pas pensez la première fois. Ensuite devant la classe vous pouvez le présenter et détailler tous ce qu'il vous raconte. Si vous êtes inspiré vous pouvez même aller jusqu'à jouer une petite scène !
Jeudi 1er décembre matin ou après-midi. En classe (salle de motricité) : Durée : 1h30
Hélios est un garçon extra ordinaire qui aime quand les choses se déroulent toujours comme prévu. Il n’a aucune relation avec les autres enfants, ne supporte pas qu’on le touche, ne sort jamais dehors… Pourtant, il peut prédire le temps, sait tout des nuages, et leur parle parfois. Son nuage préféré, c’est le cumulonimbus, celui qui porte l’orage. Aujourd’hui, Hélios va faire deux rencontres qui vont bouleverser ses habitudes…
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Mardi 22 novembre - 10h, 14h15 - La Lucarne - Arradon
Tarifs (billetterie à charge de l'école) - 3 € / élève
En présence de l'artiste de la Cie La poupée qui brûle
Pratique de la marionnette table (bunraku). Les élèves découvriront les bases de la marionnette table. Cette technique est très abordable et elle est basée sur une manipulation à plusieurs. Elle oblige les marionnettistes à être à l’écoute les uns des autres de façon silencieuse et à travailler vraiment en équipe.
On appelle aussi « Bunraku » cette technique originaire du Japon. L’idée est simple. Il y a 2 marionnettistes pour une marionnette posée sur une table basse : un marionnettiste manipule la tête, un 2ème manipule les jambes. A deux manipulateurs, nous explorerons les règles de base de la manipulation (regards, rythme de la marionnette, base du mouvement, etc.). En partant de règles fondamentales (la gravité, le poids, l’équilibre), nous essayerons de faire marcher les marionnettes, de les faire se lever, monter, sauter, courir, tomber, etc.
Puis, en partant sur des contraintes d’espace, des rapports de forces, des contraintes de mouvement nous essayerons (en improvisation) de créer des rencontres entre les marionnettes. Nous profiterons de ces improvisations pour passer du rôle de marionnettiste à celui de spectateurs.
Enfin, en petit groupe, les élèves travailleront sur l’écriture d’une petite forme qu’ils devront écrire ensemble et jouer devant un petit public.
Mardi 15 novembre matin ou après-midi. En classe (salle de motricité) Durée : 2h30