Un hommage à ces femmes, veilleuses, mères de famille, parfois veuves, qui ont accompli leur tâche quotidienne et entretenu ces sentinelles dans une vie à la verticale.
1961, occupée à ses tâches quotidiennes, Soizig attend les enfants et sa belle-sœur qui est allée les chercher à l’école. Elle est en retard… comme d’habitude ! Si les enfants ratent l’heure d’allumage du feu, ils vont être furieux !
Au pied de son phare, elle va rejouer le film de sa vie à la verticale, dérouler son histoire à travers son métier, ses enfants, son mari disparu, son phare...
Nous la suivrons jusqu’à l’heure de sa retraite, en 1991…